Notre Histoire

par songgye

HISTORIQUE DE L’ÉGLISE DE LA CITE CIDT TEMPLE L’ESPÉRANCE

Toute œuvre à un début. Ces débuts sont d’une importance capitale dans l’élaboration ou le retraçage historique de son parcours. Pour ce faire, il est important de se poser de bonnes questions. Par quoi a-t-elle débutée ?  Qu’a-t-elle traversé comme épreuves ? Quelles ont été ses moments de joie ? Où est-elle parvenue aujourd’hui ? Et jusqu’où arrivera-t-elle ? L’histoire est pourrait-on dire, la carte d’identité, le point de repère pour mieux connaitre quelqu’un ou quelque chose. C’est alors, dans cette logique que s’inscrit l’église des Assemblées de Dieu de la cité CIDT, Temple de ” l’Espérance” de Bouaké. Modeste assemblée qui tient à se faire connaitre aussi bien sur le plan local, régional, national et même international, dans le milieu des assemblées chrétiennes à travers son site web et de par son historique.

Comment débuter une histoire sans aller à ses origines? Comme toute assemblée naissante, notre église est passée par diverses épreuves depuis sa fondation jusqu’à ce jour. En effet, l’idée de créer une annexe à la cité CIDT est partie du pasteur Ouédraogo Tanga Fernand qui voulait gagner ce côté de la ville à Christ. Alors avec le concours d’un frère en Christ du nom de Dekao Apollinaire qui résidait à la cité, une cellule fut ouverte dans son salon. Cependant, les cultes du dimanche se tenaient à Tchêlèkro, un autre quartier situé dans les encablures de la cité. Dieu étant maitre des temps et des circonstances, la crise de 2002 éclatât et le pays fut paralysé. Ainsi l’œuvre entamé eu un grand ralentissement.

Après 10 années de crise qu’a connu le pays, la ville de Bouaké fut profondément impactée. Mais peu à peu, les effets de la crise se dissolvèrent. La vie reprit lentement son cours, puis le besoin de reprendre l’œuvre là où elle s’était arrêtée à la cité CIDT se fit sentir. L’après crise ne fut pas facile pour l’embryon qui se forma progressivement. Les difficultés et les problèmes surgirent de partout, tant au niveau de l’implantation, de l’organisation matérielle, qu’au niveau du leadership. C’est ainsi qu’après la crise, avec l’appui de l’évangéliste John Lee qui dirigeait une mission pionnière, l’on multipliât des campagnes d’évangélisation qui permirent de trouver un lieu de culte dans la cité. Après cette phase d’évangélisation, l’église ouverte, souffrit d’un manque de matériels et d’instruments de culte. Elle n’avait donc ni bancs, ni chaises, ni instruments musicaux, ni bâtiment approprié pour les cultes, ni de fond pour subvenir à ses besoins. L’église manquait aussi d’organisation en son sein, cela lui a valu plusieurs successeurs à sa tête. Quelque temps après l’ouverture de l’église qui était désormais devenue l’annexe de celle d’Ahougnasou, et dans le but de libérer l’évangéliste John Lee qui semblait crouler sous le poids des charges de sa structure aussi bien sur le plan local, national qu’international (PIONNERS), le Pasteur Fernand décida de confier la direction de l’œuvre de l’annexe à un autre, afin de permettre au frère John Lee de mieux vaquer à ses occupations. C’est alors qu’a été dépêché le pré-stagiaire Assié Armel pour conduire l’annexe, quelques temps avant son entrée à l’école pastorale. Après lui, vint le troisième pasteur de l’église d’Ahougnansou du nom de N’zê Christophe.

L’arrivé de ce dernier donna un coup de pouce et un caractère nouveau à l’annexe. Progressivement, le pasteur instaura l’ordre dans la gestion et l’organisation de l’église, l’équipant de chaises et de bancs en plus de ce qui existait déjà. L’annexe allait bien jusqu’à ce que s’impose le déguerpissement du local occupé jusque-là au sein même de la cité. Sous la menace et la pression persistante du propriétaire des lieux, le pasteur Tanga Fernand en accord avec son conseil payât un ilot non loin du site qui hébergeait l’annexe. Avec l’aide du pasteur N’zê Christophe l’implantation d’un tabernacle vit le jour de par l’appui d’une assemblée sœur d’Abidjan, en Avril 2017 sur le nouveau site de l’église. Suite à une affectation, le pasteur N’zê dû s’en aller, laissant ainsi derrière lui cette œuvre encore fragile.

Ensuite arriva le pasteur Blanckson Kacou Nazaire, pasteur en second de l’église mère. Tout comme ses prédécesseurs, il va beaucoup œuvrer pour la suivie de l’annexe. A une période où l’église était menacée d’extinction, de fermeture pour des problèmes de terrain, le pasteur Blanckson Kacou organisa des programmes d’évangélisation porte à porte, des pleins airs, des visites régulières des fidèles de la cité et ses environs, afin de remotiver et de ramener les âmes dispersées, à Jésus-Christ et éviter ainsi la délocalisation et de la dispersion du peuple de Dieu. L’église reprit forme. Mais, malgré les efforts du pasteur Blanckson Kacou l’église dû faire face encore à de nouvelles difficultés. En effet, le terrain qu’avait acquis l’église mère au compte de l’annexe, pour implanter le tabernacle avait été vendu à un particulier des années en arrière. Chose qui allait stopper la construction du temple, le découragement ayant gagné le cœur du peuple.

            Dans l’attente de la suite des démarches judiciaires et des négociations, les cultes se tinrent tant bien que mal, souvent sous pression ou en présence du propriétaire terrien. Cependant le pasteur Blanckson Kacou continua dans sa vision et son objectif, en travaillant de sorte à ce que l’annexe aille de mieux en mieux. Il réussit à tenir l’église en haleine jusqu’à son affection à Abidjan le 04 septembre 2018.

A cette même date arriva un autre homme de Dieu, le pasteur Irié Bi Roger affecté auprès du doyen Tanga Fernand. Quelques quatre mois après son arrivé le pasteur Fernand lui confia la charge de l’annexe de la cité CIDT. Dès sa prise de fonction, le pasteur Irié a aussitôt mis la main à la charrue, en entamant avec les responsables de l’annexe, des démarches, auprès du pasteur Tanga Fernand, en vue de l’obtention d’un lieu de culte définitif appartenant désormais à l’annexe. Finalement, le pasteur Tanga, vu la détermination de l’acquéreur de faire partir l’église de son sol, a souhaité que l’annexe soit délocalisée sur une partie de l’ilot appartenant à l’église. Chose qui serait bientôt faite quand son mot d’ordre sera donné.

Au jour d’aujourd’hui, cette jeune assemblée, à peine autonome depuis le18 Juillet 2019 dernier, est sommée de quitter le terrain de l’acquéreur dans un bref délai, ce dernier ayant déjà entamé la mise en valeur de son site.

Cependant, aujourd’hui appelée ‘’Temple de l’Espérance’’, cette modeste et petite assemblée aux multiples défis et réalités, de par sa position stratégique et de par la vision de l’homme de Dieu, le pasteur Irié, définitivement établit sur l’église, reste tout de même une église avec un avenir prometteur. Car Dieu est fidèle (1 Corinthiens 1:9)

storique.

Comment débuter une histoire sans aller à ses origines? Comme toute assemblée naissante, notre église est passée par diverses épreuves depuis sa fondation jusqu’à ce jour. En effet, l’idée de créer une annexe à la cité CIDT est partie du pasteur Fernand qui voulait gagner ce côté de la ville à Christ. Alors avec le concours d’un frère en Christ d’un frère du nom de Dekao Apollinaire qui résidait à la cité, une cellule fut ouverte dans son salon. Cependant, les cultes du dimanche se tenaient à Tchêlèkro. Dieu étant maitre des temps et des circonstances, la crise de 2002 éclatât et le pays fut paralysé. Ainsi l’œuvre entamé eu un grand ralentissement.

Après 10 années de crise qu’a connu le pays, la ville de Bouaké fut profondément impactée. Peu à peu, les effets de la crise se dissolvèrent. La vie reprit lentement son cours, puis le besoin de reprendre l’œuvre là où elle s’était arrêtée à la cité CIDT se fit sentir. L’après crise ne fut pas facile pour l’embryon qui se forma progressivement. Les difficultés et les problèmes surgirent de partout, tant au niveau de l’implantation, de l’organisation matérielle, qu’au niveau du leadership. C’est ainsi qu’après la crise, avec l’appui de l’évangéliste John Lee qui dirigeait une mission pionnière, l’on multipliât des campagnes d’évangélisation qui permirent de trouver un lieu de culte dans la cité. Après cette phase d’évangélisation, l’église ouverte, souffrit d’un manque de matériels et d’instruments de culte. Elle n’avait donc ni bancs, ni chaises, ni instruments musicaux, ni bâtiment approprié pour les cultes, , ni même de fond pour subvenir à ses besoins. L’église manquait aussi d’organisation en son sein, cela lui a valu plusieurs successeurs à sa tête. Quelque temps après l’ouverture de l’église qui était désormais devenue l’ annexe de celle d’Ahougnasou, et dans le but libérer l’évangéliste John Lee qui semblait crouler sous le poids des charges de sa structure aussi bien sur le plan local,  nationales qu’international (PIONNERS), le Pasteur Fernand décida de confier la direction de l’œuvre de l’annexe à un autre, afin de permettre au frère John Lee de mieux vaquer à ses occupations. C’est alors qu’a été dépêché le pré-stagiaire Assié Armel pour conduire l’annexe quelques temps avant son entrée à l’école pastorale. Après lui, vint le troisième pasteur de l’église d’Ahougnansou du nom de N’zê Christophe.

L’arrivé de ce dernier donna un coup de pouce et un caractère nouveau à l’annexe. Progressivement, le pasteur instaura l’ordre dans la gestion et l’organisation de l’église, l’équipant de chaises et de bancs en plus de ce qui existait déjà. L’annexe allait bien jusqu’à ce que s’impose le déguerpissement du local occupé jusque-là au sein même de la cité. Sous la menace et la pression persistante du propriétaire des lieux, le pasteur Tanga Fernand en accord avec son conseil payât un ilot non loin du site qui hébergeait l’annexe. Avec l’aide du pasteur N’zê Christophe l’implantation d’un tabernacle vit le jour de par l’appui d’une assemblée sœur d’Abidjan, en Avril 2017 sur le nouveau site de l’église. Suite à une affectation, le pasteur N’zê dû s’en aller, laissant ainsi derrière lui cette œuvre encore fragile.

Ensuite arriva le pasteur Blanckson Kacou Nazaire, pasteur en second de l’église mère. Tout comme ses prédécesseurs, il va beaucoup œuvrer pour la suivie de l’annexe. A une où période où l’église était menacée d’extinction, de fermeture pour des problèmes de terrain, le pasteur Blanckson Kacou organisa des programmes d’évangélisation porte à porte, des plein air, des visites régulières des fidèles de la cité et ses environs afin de remotiver et de ramener les âmes dispersées, à Jésus-Christ et éviter ainsi la délocalisation et de la dispersion du peuple de Dieu. L’église reprit forme. Mais, malgré les efforts du pasteur Blanckson Kacou l’église dû faire face encore à de nouvelles difficultés et problèmes. En effet, le terrain qu’avait acquis l’église mère au compte de l’annexe, pour implanter le tabernacle avait été vendu à un particulier des années en arrière. Chose qui allait stoper la construction du temple, le découragement ayant gagné le cœur du peuple.

 Dans l’attente de la suite des démarches judiciaires et des négociations, les cultes se tinrent tant bien que mal, souvent sous pression ou en présence du propriétaire terrien. Cependant le pasteur Blanckson Kacou continua dans sa vision et son objectif, en travaillant de sorte à ce que l’annexe aille de mieux en mieux. Il réussit à tenir l’église en haleine jusqu’à son affection à Abidjan le 04 septembre 2018.

A cette même date arriva un autre homme de Dieu, le pasteur Irié Bi Roger affecté auprès du doyen Tanga Fernand. Quelques quatre mois après son arrivé le pasteur Fernand lui confia la charge de l’annexe de la cité CIDT. Dès sa prise de fonction, le pasteur Irié a aussitôt mis la main à la charrue, en entamant avec les responsables de l’annexe, des démarches, après du pasteur Tanga Fernand, en vue de l’obtention d’un lieu de culte définitif appartenant désormais à l’annexe. Finalement, le pasteur Tanga, vu la détermination de l’acquéreur de faire partir l’église de son sol, a souhaité que l’annexe soit délocalisée sur une partie de l’ilot appartenant à l’église. Chose qui serait bientôt faite quand son mot d’ordre sera donné.

Au jour d’aujourd’hui, cette jeune assemblée, à peine autonome depuis le18 Juillet 2019 dernier, est sommée de quitter le terrain de l’acquéreur dans un bref délai, ce dernier ayant déjà entamé la mise en valeur de son site.

Cependant aujourd’hui appelée ‘’Temple l’Espérance’’, cette modeste et petite assemblée aux multiples défis et réalités, de par sa position stratégique et de par la vision de l’homme de Dieu le pasteur Irié Roger, définitivement établit sur l’église, reste tout de même une église avec un avenir prometteur. Car Dieu est fidèle (1 Corinthiens 1:9)